Wadokei Magazine
Wadokei Magazine, c’est un format papier, sans publicité, conçu par une équipe bénévole pour raconter l’horlogerie japonaise à hauteur d’humain. Au programme : histoires, archives, rencontres — le tout avec passion et l’envie de bien faire. Si vous nous suivez depuis le Matsuri, vous savez déjà l’essentiel : ici on parle de montres en parlant surtout de l’humain derrière.
Pourquoi ce magazine ?
Wadokei Magazine est né d’une envie simple : mettre sur papier des histoires d’horlogerie japonaise à hauteur d’humain. Un format fait maison et indépendant, pour rester libres dans le fond comme dans la forme. À notre connaissance, c’est une première en francophonie : un magazine entièrement dédié à l’horlogerie japonaise, pensé par des passionnés pour des passionnés.
On parle de montres, bien sûr, mais surtout de ceux qui les font vivre : artisans, horlogers, passionnés et collectionneurs. Des gestes et des voix, des archives qui ressortent des tiroirs, des parcours rarement racontés ainsi que des histoires inédites.
Ce magazine est un support de partage et de transmission : remettre du contexte, croiser culture, histoire, design, technique, et laisser du temps aux images comme aux mots.
Un format qui grandira avec vous.
On démarre simple : 24 pages, zéro publicité. C’était la manière la plus honnête de lancer le magazine avec nos moyens. L’idée, c’est d’étoffer pas à pas : plus de pages, plus de contenu, en restant toujours indépendants. Chaque euro repart dans les prochains numéros pour faire monter le niveau.
Wadokei Magazine - Numéro 1
Pour ce premier numéro, on a voulu parler d’horlogerie japonaise sans les clichés, en partant des personnes, des gestes et des idées. On parle d’un maître qui nous inspire, du créateur d’une icône populaire, d’une pièce fondatrice, et d’une histoire méconnue qui fait dialoguer deux horlogers que tout semble opposer. Le tout avec un détour par un coin de Japon qui nous tient à cœur. C’est un format concis, sans publicité, fait maison — l’essentiel, rien de plus.
Au sommaire de ce N°1 :
Rencontre avec Kikuo Ibe
Le père de la G-Shock revient sur l’idée folle devenue icône — coulisses et anecdotes.
Masahiro Kikuno, un voyage dans le temps
Focus sur le premier indépendant japonais : philosophie, gestes et quête d’une horlogerie vraiment personnelle.
Grand Seiko First de 1960
Retour aux origines : pourquoi cette montre a tout changé
Komaki et Kocher : deux ressorts, un problème
Une histoire méconnue relie un maître japonais et un maître suisse… sans qu’ils ne se rencontrent.
Évasion — Tsunagi Onsen, Shizukuishi
Parenthèse au pied de l’Iwate : bains et l’art japonais de prendre le temps.
Transparence et prix :
On joue cartes sur table. Pour ce n°1 (tirage 200 ex.) on part sur un prix adhérent de 14,99€ et 19,99€ pour ceux qui ne sont pas encore adhérents (hors frais de port).
Impression : 740 €
Maquette/graphisme : 800 €
Fournitures + communication : 450€
→ Budget total : ~2 000 €, soit ≈ 10 € le magazine en coûts bruts.
À pleine vente (200 ex.), on dégage environ 1 000 € qui seront intégralement réinvestis : plus de pages, plus de contenu, même prix — et, à moyen terme, lancement de notre maison d’édition associative qui permettra l’élaboration d’un magazine plus fourni ainsi que de publications inédites !
On sait que 14,99 €, ce n’est pas rien. Mais au-delà du contenu exclusif, acheter Wadokei Magazine, c’est soutenir un projet associatif, bénévole, indépendant et sans pub — et permettre au magazine de grandir dès les prochains numéros.
Les précommandes ouvrent du 2 au 23 octobre. Pendant ce temps, nous bouclons la maquette pour un envoi à l’imprimeur courant octobre. Les exemplaires partiront ensuite par La Poste début novembre, pour une réception à la maison courant du mois.
La suite s’écrit avec vous
Merci d’être là. Ce premier numéro est modeste, fait maison, mais il dit exactement ce qu’on veut défendre : de l’horlogerie japonaise à hauteur d’humain. Si ça vous parle, lisez-le, partagez-le, dites-nous ce que vous en pensez. Chaque retour compte, chaque achat nous aide à aller plus loin — sans pub, en restant indépendants.
Bonne lecture, et à très vite pour la suite !